Après une bonne nuit de sommeil, les données enregistrées sont transmises et analysées par un médecin. Cet examen permet notamment de quantifier le nombre d’événements respiratoires par heure et de calculer le nombre d'apnées/hypopnées par heure de sommeil.
Ce calcul permet d’établir l’indice d'apnées/hypopnées (IAH) :
- IAH inférieur à 5 : absence d’apnée,
- IAH entre 5 et 15 : apnée du sommeil légère,
- IAH entre 16 et 30 : apnée du sommeil modérée,
- IAH supérieur à 30 : apnée du sommeil sévère.
Dans certains, cas, le patient doit passer un examen supplémentaire pour confirmer ou préciser les résultats obtenus : une polysomnographie. Plus complet, ce test permet de diagnostiquer plusieurs troubles du sommeil comme le syndrome des mouvements périodiques des jambes le pendant nocturne du syndrome des jambes sans repos - et la
narcolepsie en le couplant à des tests de vigilance en journée.